🚩Un multi-accueil à visée thérapeutique. 25 berceaux et 3 modalités d’accueil : régulier, occasionnel, d’urgence...
Coordonnées : 12, rue Carlos Fuentes - 75014 Paris
creche@cerep-phymentin.org
« Les enfants sont très contents de la venue d’Elsa, certains observent beaucoup avant de se lancer. D’autres sortent de leur coquille, affichent un sourire, chantent, dansent alors que dans la journée ils sont plus discrets. D’autres préfèrent écouter de loin, sans participer, mais ensuite chantent les chansons entendues. »
« Elsa est très pédagogue, sa façon de présenter son atelier permet aux enfants d’accepter de ranger les instruments, les échanger sans provoquer de frustrations. Pendant les repas, les enfants reparlent d’Elsa, de la musique. »
Puis nous avons rencontré Elsa pour évoquer son parcours et son travail.
Que pourriez-vous nous dire des bienfaits de la musique partagée dès le plus jeune âge ?
Les bienfaits sont multiples. C’est d’abord un merveilleux vecteur d’émotions, de lien, de transmission, d’expression. L’éveil musical permet à l’enfant de faire une expérience multisensorielle : en plus du sonore, l’enfant va se mobiliser pour prendre les instruments et les manipuler, il va toucher d’autres matériaux, voir/sentir/mettre à la bouche des objets qu’il découvre. Il va aussi vocaliser, découvrir des sons qu’il peut créer différemment qu’avec sa voix parlée. C’est également un apport culturel : je transmets des morceaux de tous horizons (musiques du monde, chanson française, jazz…). Partager de la musique avec les tout-petits nous montre aussi d’autres facettes de leur personnalité, de leur sensibilité, et de leur place dans le groupe.
Que diriez-vous à des parents qui n’osent pas chanter car « trouvant qu’ils ne chantent pas bien » ?
Lors des séances parents-enfants, je dis toujours aux adultes qu’ils ne sont pas obligés de chanter, mais que pour leur enfant leur voix est la plus belle qu’il soit car ils l’entendent depuis toujours et même avant leur naissance. Chanter en groupe permet parfois de prendre de l’assurance vocalement. On peut fredonner, chuchoter, dire les paroles en rythme pour les personnes les moins à l’aise. Moins on s’autorise à chanter, moins on chantera juste. Chanter est un moyen de communiquer, d’apaiser, de transmettre… et les enfants sont toujours un merveilleux public.
Êtes-vous musicienne, si oui de quel instrument jouez-vous ?
Oui, je suis musicienne. Diplômée en violoncelle, chanteuse et accordéoniste. Après des études musicales au conservatoire et des études d’infirmière, j’ai étudié à la fac pour avoir le DUMI (Diplôme Universitaire de Musicien Intervenant).
Comment vous est venue l’idée de partager cela avec des bébés ?
Lors de ma formation au Centre de Formation des Musiciens Intervenants à l’université d’Orsay, nous avions des modules concernant la petite enfance. Comme élève-infirmière, j’avais aussi pour habitude d’emmener mon violoncelle dans les services lorsque je travaillais en pédiatrie. En commençant ma carrière de Dumiste, j’avais animé des ateliers d’éveil musical parents-enfants pour travailler sur le lien auprès de familles. Devenant maman en 2021, j’ai de nouveau eu l’envie de partager la musique avec les tout-petits et j’ai développé mes ateliers en crèche et d’autres ateliers parents-enfants dans le cadre des samedis en famille (ateliers artistiques dans les crèches parisiennes, accueillant les parents et leurs enfants de 0 à 6 ans).
Pouvez-vous nous décrire de manière concrète et précise, votre « matériel », comment vous vous installez, à quoi vous prêtez attention ?
Lorsque l’on partage une pratique artistique, il est important de se présenter comme « artiste » auprès des enfants, je viens donc toujours avec un instrument de musique : mon accordéon (parfois un ukulélé ou un Mélodica). Pour les tout-petits, il est important de manipuler, d’explorer, d’expérimenter, les matières, les sons et les gestes sonores. J’apporte donc un grand nombre de petits instruments (corps sonores, bouteilles sensorielles, petites percussions, instruments mélodiques). L’idée est de leur faire écouter un répertoire varié (des comptines à gestes aux musiques du monde, de la variété au jazz, à la musique classique…) et de leur faire ressentir certaines notions musicales à travers le corps. Les séances sont thématiques (pour entrer dans un univers ou un imaginaire différent à chaque séance) et ritualisées (accueil, exercices ludiques, comptine qui se répète et morceau de fin).
Ce qu’il vous semble le plus important pour initier ce moment ?
Lorsque je prépare mon matériel en arrivant dans la section, il y a un fond sonore (faisant référence à la thématique de la séance). Je chante ensuite la comptine d’accueil « bonjour le jour », une comptine à gestes, suivie de « bonjour et bienvenue » chantée avec le prénom de chaque enfant, pour accueillir chaque individualité dans le groupe. C’est à la fois un moment collectif, où l’on peut chanter, faire les signes avec également un temps précis pour chaque petit.
Comment concluez-vous ce moment ?
Nous écoutons toujours une musique douce pour nous dire au revoir. C’est un moment sans instrument qui permet de se relaxer en fin de séance, de faire retomber l’excitation et de reprendre le cours normal de sa journée en crèche. C’est une écoute libre : les enfants peuvent se balancer, danser, fermer les yeux… etc)
Avez-vous un déroulé précis ? Change-t-il selon ce que vous observez ?
Le déroulé des séances est assez identique, ce sont de courtes séquences de 2 à 5 minutes qui s’enchaînent. Nous découvrons à chaque écoute musicale un type de geste musical, souvent dans l’ordre : secoué, frotté, frappé, puis un temps avec des instruments mélodiques reprenant ces gestes et en y ajoutant le souffle pour les plus grands. Au milieu de ces séquences d’écoute, il y a une partie « ronde des comptines » (en reprenant la comptine rituelle du début de séance et en y ajoutant un à deux autres chants), avec quelques jeux vocaux. Dans chaque atelier, il y a une « surprise » : la lecture d’un livre, une autre sorte d’instrument présentée… quelque chose qui change des séances précédentes.
Avez-vous réalisé un travail collaboratif en amont avec l’équipe ?
Les ateliers sont toujours écrits et imaginés bien en amont. Je consulte l’équipe pour savoir si les professionnels ont des envies ou idées de thématiques, de notions musicales ou temps forts de la crèche prévus (type carnaval).
L’équipe vous a-t-elle adressé des demandes précises ou bien suivez-vous votre inspiration ?
Pour cette séance, il y a eu la demande de travailler sur le volume sonore dans la section des moyens/grands. Nous avions la fois précédente initié le crescendo/decrescendo (avec une tempête de neige sonore et l’arrivée et le départ d’un traîneau imaginaire plein de lutins). Nous allons pour cette séance sur la forêt, parler de nuances en distinguant les différents sons produits par les animaux (de l’ours au colibri), grâce à l’album jeunesse « Au bois dormant ».
Y a-t-il des instruments que vous réservez à un groupe plutôt qu’à un autre ?
Certains instruments, notamment les flûtes et harmonicas sont plus adaptés pour les enfants plus grands. Les bouteilles sensorielles et les instruments de petite taille sont plus facilement maniables par les bébés. L’instrumentarium utilisé pour les deux séances est globalement le même, c’est celui que j’emmène pour les ateliers avec de jeunes enfants (0-6 ans).
Chantez-vous ?
Oui, le chant est un des fils conducteurs de la séance. Une comptine d’accueil, une comptine sur la thématique revenant plusieurs fois dans la séance, c’est l’instrument le plus facilement transportable, et la voix fascine certains bébés. De plus, les chants transmis en séance peuvent être repris par les professionnels comme une continuité de l’atelier. Les paroles des comptines sont d’ailleurs transmises à l’équipe en fin de séance, ainsi que les différentes références (musiques écoutées, livres…) pour faire une transmission aux parents.
Nous vous remercions chaleureusement pour ces merveilleux moments que vous apportez aux enfants et à l’équipe par votre art.
L’équipe de la crèche
L’entrée de la crèche était transformée ce jeudi 12 décembre et il faisait bon de s’y arrêter.
Tout d’abord pour admirer le petit sapin, acheté par Michaël et décoré par les enfants du groupe des grands, pour ensuite lire les affiches de Noor soigneusement préparées, pour remplir la boîte à questions, pour enfin boire ensemble un café chaud et manger des viennoiseries.
Et si cette halte ne pouvait être que matinale, qu’à cela ne tienne, l’équipe avait tout prévu et se tenait prête pour le goûter afin de permettre à tous les parents quel que soit leur rythme, de se retrouver.
Nous avons été toutes émues de revoir un enfant parti à l’école qui a retrouvé avec une grande joie certains enfants encore là.
Merci à toute l’équipe pour cette joyeuse et longue journée.
La convivialité et la bonne humeur n’ont pas empêché que de sérieux sujets qui tracassent toujours un peu les parents, puissent être abordés : pourquoi les morsures ? à quand une vie sans couches pour notre enfant ?
Chacun a pu exprimer ses inquiétudes, ses questionnements et en apporter de nouveaux en glissant ses papiers dans la boîte à questions.
L’une de ces questions a été : quels sont vos projets pour 2025 ?
Réponse unanime de l’équipe qui avait encore en mémoire la journée du Babylab et la musicalité des liens précoces, la sensibilité musicale du bébé, le chant parental bénéfique pour le développement du cerveau et du lien.
Nous croyons comme Maya Gratier que « la musique est à la portée de tous les êtres humains dès la toute petite enfance ».
Ainsi, l’éveil musical sera à nouveau proposé une fois par mois aux grands mais aussi aux bébés qui pourront écouter la voix, les maracas, les tambours et même l’accordéon de notre intervenante si délicate. Première journée le 20 décembre.
C’est donc aux sons des tambours et de l’accordéon que nous conclurons cette joyeuse année à la crèche du Cerep Phymentin.
Un écrit de Françoise Monteil, directrice de la crèche et Elise de Saint-Guilhem, chargée de mission auprès de la crèche
La nomination au mois de novembre de Françoise Monteil, éducatrice de jeunes enfants au poste de directrice de la crèche Cerep-Phymentin, a été accueillie avec beaucoup de joie par l’équipe.
Nous sommes allées à sa rencontre.
ENTRETIEN : Françoise Monteil interviewée par Laura CZERNY et Elise de Saint-Guilhem
« Parlez-nous de votre parcours ? Vous étiez éducatrice de jeunes enfants à temps plein au sein de l’équipe de la crèche, qu’est-ce qui vous a donné envie d’en devenir la directrice ? »
Oui, je suis arrivée à la crèche peu avant l’arrivée des premiers enfants en avril 2022, alors je la connais bien. Je l’ai vu grandir. Il y a eu des hauts et des bas mais j’ai toujours été animée par le projet de la crèche. Avoir la sensation que notre accueil est bénéfique et change peut-être l’avenir de certains enfants, c’est très fort et très motivant.
Au départ de notre directrice, j’ai pris le relais de manière assez naturelle. La question de prendre le poste ne s’était pas vraiment posée, elle a cheminé et je pense avoir été portée par l’équipe. On a assuré la rentrée ensemble avec l’accueil des nouvelles familles et toute l’organisation de travail à mettre en place en début d’année et ça m’a donné envie de prendre cette place.
En être aujourd’hui la directrice est une grande fierté mais aussi une très grande responsabilité. Certains enfants passent au moins 10 heures par jour à la crèche, alors la qualité de l’accueil se doit d’être bien pensée et cela passe par les moyens de faire vivre le projet et l’investissement de chacun. Et je dirais que je suis maintenant responsable de cela.
« Vous suivez actuellement le cycle d’approfondissement de l’approche piklérienne sur deux ans. En quoi cette formation est-elle un atout, un appui pour réaliser les projets ? »
Cette formation est incroyable, ceux qui l'ont faite peuvent en témoigner. Elle nous fait nous remettre en question sur notre pratique, sur ce que l’on a appris et que l’on pensait être acquis.
La collectivité et les enfants au quotidien peuvent nous mettre en difficulté et notre manière de leur répondre vient parler de nous. A chaque session on déconstruit et on reconstruit une autre vision des choses.
Cette formation met vraiment au centre toutes les compétences du bébé.
S’ajuster à chaque enfant et leur faire confiance est un vrai défi chaque jour. La formation est une chance, elle est une pause pour penser, nourrir notre pratique et modifier naturellement et progressivement notre manière d’agir face à l’enfant.
« Comment caractérisez-vous l’équipe et quelles sont les valeurs qui vous rassemblent ? »
L’équipe est très dynamique. Elles sont toutes là car elles ont cherché une crèche différente de ce qu’elles ont pu connaître ailleurs.
L’équipe recherche un travail de qualité. Respecter le rythme de l’enfant et l’individualité de chacun pour de vrai, pas juste de manière écrite sur un projet quelconque.
L’équipe, c’est une équipe de chercheurs. Elles connaissent les enfants de manière très fine et cherchent des réponses pour toujours améliorer l’accompagnement.
Je pense que les murs de la salle de pause sont fatigués de nous entendre…
« Si vous deviez décrire votre “mission” en une phrase pour les familles et l’équipe, quelle serait-elle ? »
Ma mission est de garantir la qualité de notre accueil, prendre soin des professionnelles autant que des enfants et créer du lien avec les familles.
PORTRAIT CHINOIS
Si je veux connaître votre principal trait de caractère ? Empathique
Si je veux connaître le voyage qui vous fait rêver ? Le Canada pour les paysages et faire du traîneau à chiens. Mais je n’aime pas trop l’avion alors pour le moment je vais retourner en Italie et manger des tonnes de pâtes.
Si vous étiez un animal, lequel seriez-vous ? Un Golden Retriever, j’en ai un et j’aimerais beaucoup être dans sa tête. Il ne parle pas mais il est très intelligent car il n’écoute qu’en échange de croquettes. C’est un pouvoir assez incroyable et fascinant.
Si je vous demande la qualité qui est selon vous essentielle quand on travaille en équipe ? L’ouverture d’esprit pour accueillir chaque personnalité.
Si je vous demande la qualité qui est selon vous essentielle pour travailler auprès des jeunes enfants ? S’émerveiller de chaque évolution et être très patient pendant au moins
7 heures par jour.
Si l’on évoque un bébé qu’est-ce que cela vous inspire ? Un être mystérieusement intelligent que l’on doit encore apprendre à connaître.
Début novembre lors de sa venue au Babylab, la journaliste de France Inter Zoé Varier, productrice du podcast In utero s’est montrée très intéressée par l’ambiance sonore d’un groupe de bébés.
Dès le lendemain, un rendez-vous a été fixé avec Françoise et Zoé Varier a été présentée aux bébés, casque sur les oreilles et son micro à la main : des babillages des bébés aux paroles des adultes, tout a été enregistré.
Impressionnée et stupéfaite par la manière dont l’équipe s’adressait aux enfants, Zoé Varier a laissé entendre que cette première visite serait peut-être suivie d’autres !
Le bébé, les équipes de la crèche, le babylab : tous chercheurs!
Les membres de l’équipe se sont réjouis de cet intérêt porté aux bébés qu’elles ont dans les bras et elles ont de ce fait répondu avec enthousiasme à l’invitation de la première Journée du Babylab qui s’est tenue le mercredi 13 novembre 2024 intitulée « Dialogue entre chercheurs et ceux qui ont les bébés entre les bras ».
L’équipe au complet témoigne d'une journée passionnante, tellement riche de se questionner sur ce qu’il se passe dans la tête d’un bébé ? Et surtout à quoi cela sert-il de le savoir?
Quelle découverte aussi que cette production sonore du bébé, « areuh » puisse exercer un tel pouvoir sur l’adulte.
Nous pouvons certainement retenir de cette journée la phrase de Maya Gratier que « faire de la recherche sur la pensée du bébé devrait être toujours associée à une recherche sur et avec les adultes qui les connaissent le mieux (leurs parents) y compris les professionnels ».
Nous avons toutes été très touchées par l’écoute d’enregistrements de bandes sonores de la petite musique qui relie les parents et leurs bébés, nous sommes convaincues qu’effectivement « le bébé connaît l’art de la conversation avant même de savoir parler ».
Certaines d’entre nous témoignent de leur plaisir à travailler dans cette crèche si spécifique et pleine de promesses, avec une envie d’aller plus loin. Elles évoquent de l’action recherche et reconnaissent l’impatience que le dialogue se poursuive.
►Françoise Monteil, Elise de Saint-Guilhem et Laura Czerny, le 26 novembre 2024
Depuis cette date, des enfants sont inscrits au fur-et-à-mesure et ils sont aujourd'hui 22, âgés de 3 mois à 3 ans, accueillis au rez-de-chaussée pour les petits-moyens et à l’étage pour les moyens- grands. Nous accueillons également des enfants dont les parents travaillent avec notre partenaire l’hôpital Saint-Joseph.
Depuis le départ à la retraite de Gaëlle de Kerros au mois de juillet, Françoise Monteil, éducatrice de jeunes enfants assure le relais de la direction. La recherche d’une nouvelle directrice se poursuit.
La crèche bénéficie également depuis cette date du soutien et des compétences de Laura Czerny qui travaille au siège depuis septembre 2024 comme chargée de mission et de celles d’Élise de Saint Guilhem, chargée de mission à temps partiel qui travaille également auprès d’autres crèches d’inspiration piklérienne comme coordinatrice petite enfance.
Ainsi, il a été mis en place un groupe de travail collégial entre l’équipe du siège et celle de la crèche pour renforcer la bonne organisation de la crèche dans tous ses aspects, qu’ils soient réglementaires, administratifs, pédagogiques ou financiers.
Laura Czerny en sa qualité d’infirmière exerce la fonction de référente santé, accueil inclusif (RSAI).
Juste avant le retour des vacances des enfants, l’équipe au complet a pu bénéficier fin août de deux temps de travail : l’un dédié à l’aménagement des espaces et l’autre, une journée pédagogique sur les activités autonomes et le jeu libre animée par un formateur de l’association Pikler Lóczy.
Par ailleurs, une réunion de rencontre avec les parents des groupes des grands aura lieu le 25 septembre 2024 et à cette occasion l’équipe du Babylab se présentera aux familles et expliquera son projet.
Forte de ce nouvel élan, l’équipe réfléchit également au nom de la crèche et un sondage a permis de dégager quelques idées, avant une sélection ultime : consulter les noms imaginés
Présentation détaillée de la crèche : dossier - décembre 2022
Accessibilité à la lecture et handicap, parcours chaotique - Salon du livre 6 décembre 2021 : compte rendu d’Edith Cuguen, éducatrice de jeunes enfants - Crèche Cerep-Phymentin -
Des enfants, des livres et nous : table ronde - Salon du livre de Montreuil - Elisabeth Lê, éducatrice de jeunes enfants - Crèche Cerep-Phymentin
La chanson « Olé, lé » en crèche, avec la participation d’Edith Cuguen à la réalisation du CD quand elle travaillait à Gustave Roussy.
Visite des locaux, 12 rue Carlos Fuentes, le 15 novembre 2021, de Monsieur Amine Bouabbas (Premier Adjoint à la Mairie du 14e arrondissement en charge de l'éducation, de la petite enfance, des familles et des nouveaux apprentissages) et de Madame Caroline Baivier, chargée de mission famille/petite enfance).
⦁ Objectifs :
- Présenter le bâtiment et son extérieur en cours d'aménagement.
- Evoquer la spécificité de notre crèche préventive (50 % inclusive et 100 % préventive)
- Préciser les modalités pour adresser par la suite des familles du 14e.
- Développer des partenariats