L’année 2018 a permis de consolider les acquis de l’an passé. Dans un contexte, toujours aussi incertain sur le devenir de la formation professionnelle et aux budgets rétrécis, assurer l’équilibre financier est déjà en soi une grande satisfaction.
Cependant pour arriver à ce résultat il nous faut redoubler d’efforts et ce, dans des axes très différents : pertinence dans la recherche de nouveaux formateurs, stratégies de communication offensives, clairvoyance sur les décisions financières, respect des normes et d’une législation de plus en plus contraignante, solidarité et convivialité au sein d’une équipe très sollicitée et… d’abord et surtout vigilance extrême sur les contenus des programmes et la clinique qui les soutient.
De plus, tout en restant résolument rigoureux sur ce qui fait son identité, le Copes se doit de s’adapter aux demandes des prescripteurs et de modifier les dispositifs pédagogiques en faisant preuve d’une réelle souplesse dans la construction et l’élaboration des formations.
Le mouvement amorcé depuis quelques années d’assister à la préférence par les institutions des formations sur site se pérennise. Il est évident que le Copes s’adapte ! Mais cela ne va pas sans poser quelques questions. Ce secteur intra est très couteux en énergie et en travail à tous les postes dans l’équipe et a une rentabilité assez faible (les tarifs n’ayant pas été augmentés depuis 2008). Et par rebond, la diminution des inscriptions en inter interroge sur leur devenir : jusqu’où peut-on modifier leur nombre, leur volume, leur contenu sans en trahir les données et enjeux inscrits au plus près de la clinique ?
Cette année encore l’équipe a traversé des vicissitudes autour de sa composition. On assiste à la fois à une réelle stabilité à certains postes et à des changements dans des séquences assez rapides à d’autres fonctions. Bravo à l’équipe pour traverser ces aléas sans perdre le cap !
Aujourd’hui, l’équipe du Copes est une équipe compétente, investie et solidaire, ce qui autorise à se représenter 2019 avec, certes des charges de travail qui ne peuvent qu’augmenter, mais qui ne phagocytent pas pour autant la créativité alerte qui doit prédominer au Copes.
►Consultez l’intégralité du rapport d’activité 2018 du Copes.