Editorial de septembre 2024 : une affaire de choix
🖋Chers lecteurs,
Certains ont le choix de dissoudre ou non une assemblée, de choisir des ministres, de réformer ou pas. D’autres n’ont pas le choix et ils doivent partir à la guerre pour défendre leur liberté et leurs valeurs fondamentales.
D’autres encore ont fait le choix de repousser leur limite physique, et quel que soit leur handicap ou pas.
Il y aussi des choix du quotidien plus évidents, en apparence, mais avons-nous toujours le choix ?
Qu’elle soit sociale, politique, vitale, existentielle ou même futile, la question du choix renvoie continuellement à notre condition humaine et peut être même absurde à certains moments.
Cependant, si comme le disait Albert Camus « La vie est la somme de vos choix », comment faire des « bons » choix et faire en sorte qu’ils s’additionnent harmonieusement pour une vie personnelle, pour une famille, pour une institution ou une nation ? Comment sortir les choix des états de fait ou d’un résultat attendu et les mettre en perspective d’un projet ou d’une vie ?
Nous avons fait des choix :
Celui d'imaginer une ligne éditoriale avec un ton particulier.
Celui de changer un nom : l'hôpital de jour du Parc Monsouris s'appelle désormais l'hôpital de jour Raymond Cahn.
De militer pour une approche thérapeutique sur-mesure : nous vous invitons à cet égard à lire l'article de Bernard répondant à un dossier paru dans l'Express en août : Faut-il en finir avec la psychanalyse ?
Le choix laisse donc à chacun une place intime ou sociale ; ce qui est certain est qu’il laisse écrire à l’infini.
Le comité rédactionnel Cerep-Phymentin, septembre 2024
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