Quand s’en vient le printemps, les rapports d’activité des établissements Cerep-Phymentin fleurissent, parvenant au siège, au gré des jours pluvieux ou ensoleillés de mars.
Commence alors la collecte des écrits, précieux documents où les directions égrènent les temps forts 2015… le bilan d’activité… les évolutions de la prise en charge… le bilan social… et essaiment les projets 2016.
Cinq pétales rendant compte de la diversité des actions menées mais aussi de leur complexité - un ensemble évoqué dans l’éditorial de chaque établissement où les directions font état des événements marquants, de leurs interrogations mais aussi de leurs luttes.
Seulement quelques pages dédiées à ce qui constitue une année de prises en charge ou de formations ! C’est sans nul doute frustrant, et peut-être parfois perçu comme terriblement réducteur.
Mais c’est aussi l’effort que chacun consent pour participer à une alchimie globale où les singularités, ces camaïeux, renforcent les notes de fond.
Le mois d’avril s’écoule : les semaines, les heures passées à composer le bouquet. Et arrive la seconde du rapport d’activité quand enfin il est imprimé. Ce moment espéré et redouté : chacun s’y retrouvera-t-il ?
Peut-être ou autrement mais l'important est vraisemblablement la fragrance que les autres, ceux qui se saisiront du bouquet à l'extérieur, percevront alors : une composition homogène avec des notes distinctes.
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Et retrouvez le bouquet de chaque établissement sur les pages des institutions Cerep-Phymentin.